05/08/2010
ffffrrrsssshhhtt
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31/07/2010
Déformation obsessionnelle
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30/07/2010
Un certain degré d'usure
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : usure, porte, wc, pneu, vacances |
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29/07/2010
La main
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : main, porte, ombre |
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25/07/2010
23h
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24/07/2010
Disparition assise avec un globe lumineux
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : disparition, porte, lumière |
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23/07/2010
Toits et cheminées sans accès
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : cheminées, porte, friche, chantier |
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22/07/2010
Initiatique peut-être, mais grillagée
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17/07/2010
Arriver quand même
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : arriver quand même, porte, barrières |
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14/07/2010
Anis
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13/07/2010
Pourtour nuageux
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : porte, pourtour nuageux |
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08/07/2010
Revenez, ou je mourrai.
Revenez, ou je mourrai.
Hervé Joncour replaça le feuille dans la poche intérieure de sa veste.
- Merci.
Il fit un salut de la tête, pivota, marcha vers la porte et s'apprêta à poser quelques billets sur la table.
- Laissez tomber.
Hervé Joncour hésita un instant.
- Je ne parle pas de l'argent. Je parle de cette femme. Laissez tomber. Elle ne mourra pas et vous le savez.
Sans se retourner, Hervé Joncour posa les billets sur la table, ouvrit la porte et s'en alla.
Soie, Alessandro Barrico
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07/07/2010
Lourde
Fermait il y a quelques jours à Paris l'exposition "Crimes et châtiments". Parmi les œuvres présentées figuraient une porte de prison (ouvrez !), si mes souvenirs sont bons de la célébrissime Sainte-Pélagie, prison parisienne dont la fréquentation a été soutenue, et souvent prestigieuse (Courbet, Proudhon, Bruant, Daumier, Lafargue, Vallès, Sade, Nodier....) à tel point que Dumas avait à son sujet parlé de "bottin mondain". Sans toutefois prendre la peine de le vérifier, et d'y contribuer lui-même.
De son entrée dans cette prison, Évariste Galois à laissé quelques mots:
« Porte aussi massive que rébarbative, murs épais d'un mètre qui le disputent à l'horreur de sombres couloirs, suintant la crasse, le froid et le désespoir. Tout ici sent la Mort! Dante a du y venir, rédiger ses Enfers. »
La porte présentée pour l'exposition est une porte en bois doublée de métal, et gravée sur chacun de ses plus modestes centimètres carrés par les prisonniers. Objet relique, objet témoin, objet accusateur. Plus porte pour un sou, présentée comme un tableau. Cette porte était accompagnée d'autres représentations du monde carcéral, où évidemment la porte (qu'en prison on appelle aussi la "lourde") tient un rôle particulier, tant elle marque les oscillations de la vie du condamné: parfois ambivalente (condamnation / relaxe, enfermement / issue, enfermement / exécution), parfois unilatérale (surveillance, nourriture, en un mot : dépendance...).
N'ayant pas de porte de prison en stock, je vous en poste une parodie.
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06/07/2010
Puits de lumière (forage réussi)
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02/07/2010
Résumé coupable
Rien à voir avec la porte.
Rien à voir avec la presse gratuite devant elle, quoique.
Je partage avec vous ce soir une obsession, celle de ce sacro-saint devoir de synthèse qui vire au court-circuit. Celui des médias ou de tout ce qui se rapproche de la sphère médiatique.
C'est bien de résumer des sujets, des dossiers, des affaires.
Bien sûr, car on ne peut pas être informé de tout, car on ne peut pas tout lire, et donc on ne peut pas tout nous dire...
Mais je me dis, des fois, sans faire génériquement le procès de l'auteur du résumé... je me dis que la simple idée de résumé, toute démocratique qu'elle soit (en ce qu'elle permet l'accès au plus grand nombre d'une information donnée), est potentiellement coupable. Car elle biaise, raccourcit, decontextualise. Qui plus est, un résumé donné devient ensuite le maître étalon auquel tous ceux qui vont être produits ultérieurement vont se référer, ou s'inspirer secrètement. Dans un sens ou dans l'autre. Personne ne s'interessera plus au sujet dans sa globalité.
Ce qui veut dire que, pour que la démocratie reste viable, il faut qu'une multiplicité de "résumés", personnels, circulent dans la nature, c'est aussi vital que la diversité des points de vue.
Et que donc, application immédiate pour tout le monde (allons!), lorsque l'on a eu accès à quelque chose, surtout quelque chose qui a peu d'écho médiatique, il faut le dire, le résumer à sa sauce, selon sa sensibilité, sans chercher à savoir ce qu'en disent les autres. Chercher en soit ce que l'on en retient, ce que cela a éveillé en nous et que l'on peut partager, avant même de dire ce que l'on en pense.
En fait, c'est essentiel.
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27/06/2010
Le cas Didier
Bon. Une porte un peu retournée, ce soir. Pour un billet en décalé sur un gars qui m'a fait rire, parfois oui, parfois non. On peut être choqué par sa chronique: oui. Des tas de choses me choquent, par exemple le verbiage mou et creux qui envahit les médias, et n'amènent pour autant aucun limogeage.
Mais ce n'est pas exactement le sujet que je veux traiter ce soir, sur le prétexte de "Porte". Tout le monde s'interroge: "Y'a t-il eu des pressions de l'Elysée ?". "Non", répondent certains, "Oui bien évidemment", disent les autres.
Ce n'est même pas ça le problème. Il y a quarante ans Noam Chomsky et Edwards Herman montraient du doigt les mécanismes d'auto-censure dans la sphère médiatique: selon eux le système avait dépassé la "nécessité" de la censure. Il se peut que la direction d'Inter, même sans demande explicite, ait considéré devoir se passer de Porte et Guillon. Et, deuxième niveau du mécanisme d'auto-censure: que va t-il se passer maintenant ? Les remplaçants de Guillon et Porte se sentiront-ils libres, quel que soit leur "ton", et quel comportement adopteront-ils?
Voilà pourquoi, en abstraction totale de Guillon et Porte, ce genre de cas, énigmatiques, laissant planer un joli doute entre théorie du complot et dénonciation perpétuelle de celle-ci comme d'un fantasme, renforce ce qui fait le fondamental du système: l'auto-censure.
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26/06/2010
Le Temps, ce personnage de fiction
Difficulté européenne à penser le changement.
Dans le langage et la philosophie européenne, caricaturons: la transition n'existe pas. La pensée européenne de l'histoire met ainsi "préférentiellement" en exergue "l'événement" plutôt que les évolutions: elle pense le point "a", elle pense le point "b", mais elle ne pense pas communément les inflexions, les variations, les glissements, et plus généralement ce que l'auteur appelle : "les transformations silencieuses".
La pensée chinoise unit "a" et "b", les unit aussi au mouvement qui les relie: ils sont co-substantiels. Et il en va de même pour deux événements séparés dans le temps, pour la neige et l'eau, pour l'image que l'on a de soi, un jour jeune et un jour, stupeur: vieux.
Très beau texte, évoluant accessible et en spirale, que Les transformations silencieuses de François Jullien.
Petit extrait, choisi arbitrairement:
"Paradoxe éprouvant du langage: c'est grâce au langage, à travers lui, que l'esprit se développe et que nous pensons; en même temps que penser, c'est toujours, d'une façon ou d'une autre, se retourner contre le langage et lutter contre l'inféodation: faire tous ses efforts pour décoller des partis pris et, se déprenant de ce qu'il nous impose de plus évident (rien de plus suspect que l'évidence en philosophie...), tenter de revenir en amont de ses vieux découpages. Je me suis gardé jusqu'ici d'invoquer "le temps", alors même que je veux penser le changement, parce que je crois que le "temps" est un construction du langage, et plus particulièrement de la langue européenne, qui pour une large part nous abuse et nous fait dévier de la logique des processus. Nous avons, depuis les grecs, emballé sous le terme de "temps", chronos, tout ce que nous ne parvenons plus à justifier à partir de nos distributions et disjonctions notionnelles et le dressons en Cause hégémonique, énigmatique, de nos vies. De là cette question que, à ce point de la réflexion, je ne peux plus ne pas oser: le temps ne serait-il pas ce personnage de fiction dramatique que nous avons inventé pour donner nom et visage à notre impensé et lui faire jouer ce grand rôle explicatif, global s'il en est, dont une attention plus minutieuse portée aux transformations silencieuses nous dispenserait?
J'espère que pour vous, entre deux portes poussées ici et là, il se passe un paquet de (jolies) choses.
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24/06/2010
Encadré
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : encadré, faire un effort, porte, ouverte |
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22/06/2010
you're so hard to tell the truth to
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : porte, costello, you, regard |
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21/06/2010
Entrez
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : ordre, porte, entrez, porte d'entrée |
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