31/05/2010
Serré
Publié dans Bouches du Rhône | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : portes, plantes qui rendent l'âme |
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30/05/2010
Y'en a.
Publié dans Elues des passant(e)s, Rhône | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : porte, carrelage |
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29/05/2010
Au fond
Publié dans Corse | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : porte, au fond, balcon, genet |
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28/05/2010
Oui...
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : porte, oui |
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27/05/2010
La flèche (Hommage à)
Publié dans Elues des passant(e)s, Var | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : flèche, porte, hommage |
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26/05/2010
Ouverture latérale quand pas de fermeture frontale, c'est intriguant quand même
Publié dans Savoie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : intriguant, porte, montagne, cabanon |
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25/05/2010
fermées, closes, boutonnées, lacées, agrafées, cousues
Publié dans Bretagne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fermées, closes, boutonnées, lacées, agrafées, cousues |
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24/05/2010
T time (for a coffee)
Publié dans Var | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : tea, porte, thé |
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23/05/2010
Protéger l'atelier
Mercredi 19 février 1834
Les ouvriers ne font toujours rien. Il y a eu une affiche pour défendre les rassemblements qui n'ont pas été plus forts ni plus turbulents que les jours précédents. Les fabricant déménagent toujours et ont grand peur. On a posé une affiche qui conseillait aux ouvriers de reprendre leur ouvrage leur promettant un piquet d'infanterie à la porte de leur atelier pour les protéger.
Joseph Bergier, « bourgeois lyonnais proche des républicains », extrait de son journal tenu pendant la troisème grande révolte des canuts. Cité dans « Lyon au fil de la soie », Éditions Lieux dits.
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : canuts, atelier, porte |
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22/05/2010
Un bon disque
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : disque, porte |
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21/05/2010
jamais depuis longtemps
Monsieur Linh présente toutes les maisons du village à son ami. Il présente les ancêtres aussi, quand ceux-ci sont près des portes à chauffer leurs viex os au soleil.On se salue en inclinant la tête et en joignant les mains. Le gros homme sourit. Il dit à Monsieur Linh que jamais depuis longtemps il n'a été si heureux.
Philippe Claudel, La petite fille de Monsieur Linh
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20/05/2010
On ne peut jamais s'envoler vers ce qu'on a perdu
Le vieil homme s'approche de la fenêtre. Le vent n'agite plus le grand arbre, mais la vie fait éclore dans la ville des milliers de lumières qui scintillent et paraissent se déplacer. On dirait des étoiles tombées à terre et qui cherchent à s'envoler de nouveau vers le ciel. Mais elles ne peuvent le faire. On ne peut jamais s'envoler vers ce qu'on a perdu, songe alors Monsieur Linh.
Philippe Claudel, La petite fille de Monsieur Linh
Merci à Ema pour la photo
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19/05/2010
ils n'hésitent pas devant la mort
Il y a moins de trente ans était votée l'abollition de la peine de mort. Parmi les faits qui l'avaient- enfin - permise, il y eut ce discours de Robert Badinter, alors Garde des Sceaux. Discours brillant, implacable. Texte majeur, il me semble, pour son style, sa vision, son inspiration, sa force de conviction, sa raison posée; à la fois pour toutes les mauvaises portes qu'il condamne et les portes qu'il ouvre, dans les murs les plus épais. Il mérite d'être relu de temps en temps, lorsque dans l'émotion des portes en nous se ferment...
Ci-dessous quelques extraits, parfaitement arbitraires...
On peut s'interroger : pourquoi n'y a-t-il rien eu en 1936 ? [c'est à dire pas d'abollition de la peine de mort] La raison est que le temps de la gauche fut compté. L'autre raison, plus simple, est que la guerre pesait déjà sur les esprits. Or, les temps de guerre ne sont pas propices à poser la question de l'abolition. Il est vrai que la guerre et l'abolition ne cheminent pas ensemble.
La Libération. Je suis convaincu, pour ma part, que, si le gouvernement de la Libération n'a pas posé la question de l'abolition, c'est parce que les temps troublés, les crimes de la guerre, les épreuves terribles de l'occupation faisaient que les sensibilités n'étaient pas à cet égard prêtes. Il fallait que reviennent non seulement la paix des armes mais aussi la paix des coeurs.
[...] Rien n'a été fait pendant les années écoulées pour éclairer cette opinion publique. Au contraire ! On a refusé l'expérience des pays abolitionnistes ; on ne s'est jamais interrogé sur le fait essentiel que les grandes démocraties occidentales, nos proches, nos soeurs, nos voisines, pouvaient vivre sans la peine de mort. On a négligé les études conduites par toutes les grandes organisations internationales, tels le Conseil de l'Europe, le Parlement européen, les Nations unies elles-mêmes dans le cadre du comité d'études contre le crime. On a occulté leurs constantes conclusions. Il n'a jamais, jamais été établi une corrélation quelconque entre la présence ou l'absence de la peine de mort dans une législation pénale et la courbe de la criminalité sanglante. On a, par contre, au lieu de révéler et de souligner ces évidences, entretenu l'angoisse, stimulé la peur, favorisé la confusion. On a bloqué le phare sur l'accroissement indiscutable, douloureux, et auquel il faudra faire face, mais qui est lié à des conjonctures économiques et sociales, de la petite et moyenne délinquance de violence, celle qui, de toute façon, n'a jamais relevé de la peine de mort. Mais tous les esprits loyaux s'accordent sur le fait qu'en France la criminalité sanglante n'a jamais varié - et même, compte tenu du nombre d'habitants, tend plutôt à stagner ; on s'est tu. En un mot, s'agissant de l'opinion, parce qu'on pensait aux suffrages, on a attisé l'angoisse collective et on a refusé à l'opinion publique les défenses de la raison.
[...] Et si la peur de la mort arrêtait les hommes, vous n'auriez ni grands soldats, ni grands sportifs. Nous les admirons, mais ils n'hésitent pas devant la mort. D'autres, emportés par d'autres passions, n'hésitent pas non plus. C'est seulement pour la peine de mort qu'on invente l'idée que la peur de la mort retient l'homme dans ses passions extrêmes. Ce n'est pas exact.
[...] Et, puisqu'on vient de prononcer le nom de deux condamnés à mort qui ont été exécutés, je vous dirai pourquoi, plus qu'aucun autre, je puis affirmer qu'il n'y a pas dans la peine de mort de valeur dissuasive : sachez bien que, dans la foule qui, autour du palais de justice de Troyes, criait au passage de Buffet et de Bontems : "A mort Buffet ! A mort Bontems !" se trouvait un jeune homme qui s'appelait Patrick Henry. Croyez-moi, à ma stupéfaction, quand je l'ai appris, j'ai compris ce que pouvais signifier, ce jour-là, la valeur dissuasive de la peine de mort !
Assemblée nationale - 1ère séance du 17 septembre 1981
Source: http://www.peinedemort.org/National/France/an-debats2.php
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18/05/2010
Du changement dans l'air
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : changement, porte |
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17/05/2010
ça faisait longtemps que je n'avais pas aéré, ici...
Publié dans Elues des passant(e)s, Savoie | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : porte, aérer |
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16/05/2010
L'ethnologie des bas quartiers
Je m'étonne toujours que le musée de l'homme ou une bonne revue de vulgarisation géographiuqe ne fasse jamais état du peuple citadin, ne révèle pas au grand public l'ethnologie des bas quartiers, que les grans canards préfèrent renseigner dûment leurs milliers de lecteurs sur les moeurs et coutumes des indiens Navajos que sur ceux et celles des vieux de Nanterre, comme je m'étonne qu'après l'norme quantité de livres, et bons livres, consacrés à Paris, ancien et moderne, par les descripteurs du fantastique social, l'habitant ignore sa ville, la dédaigne ou limite ses réflexions et commentaires toujours identiques à la poésie des quais de Seine comme à la visite des musées nationaux, et trouve curieux qu'un homme ordinaire, mais qui sait voir, entendre, renifler, se servir de ses appareils sensoriels comme d'antennes démesurées puisse encore de nos jours rester embarassés, ahuri, stupéfait, muet d'étonnement, incpable de commentaires, écarquiller l'oeil, n'en plus dormir, se précipiter sur ses amis pour leur faire part de ses découvertes, les y entraîner, leur y faire prendre pied...
Jean-Paul Clébert, Paris insolite
Publié dans Ile-de-France | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : paris insolite, clébert, porte, ravalement |
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15/05/2010
Divers
Publié dans Ile-de-France | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : porte, divers, véranda |
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14/05/2010
En perspective
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : escalier, porte, perspective |
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En rayons
Publié dans Ile-de-France | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : rayons, portes |
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13/05/2010
Porte étroite
Publié dans Rhône | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : porte, étroite |
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